
C'est sans surprise que j'ai appris la nouvelle de votre départ de la vie politique québécoise ce matin du 30 octobre... 13 ans après le 2e référendum sur la souveraineté du Québec. Je savais que vous vouliez vivre autre chose au moins depuis 5 ans. Je savais, qu'il y de ce même 5 ans, vous étiez resté par conviction et devoir de battre la monté des adéquistes ! Je savais que votre coeur à l'ouvrage et votre dévotion vous feraient rester jusqu'à ce que le temps de penser enfin à vous se présente.
Vous êtes une Femme de coeur et de conviction. L'assemblée nationale des QuébécoisEs perd une âme de justice et de grandeur avec votre départ. Le Québec perd un modèle de femme merveilleuse.
J'ai apprécié militer et travailler avec vous au fil des ans. Je savais qu'en le faisant, je le faisais aussi pour les gens d'Hochelaga Maisonneuve, des gens qui méritaient toute notre attention, notre empathie et notre amour infini.
Merci pour votre courage, vos convictions, vos combats toujours bien choisis.
Merci pour ce que vous m'avez appris et pour la politique de proximité dans «l'autrement»!
Merci d'avoir été qui vous êtes, tout simplement merveilleuse !
Louise, vous méritez votre retraite et je vous souhaite de bien profitez des années qui s'offre à vous dans le bonheur et l'amour des vôtres !
J'ai envie de terminer mon témoignage avec une citation de Raymond Lévesque:
«Si les hommes sentaient la fragilité de leur essence, ils vivraient autrement et comprendraient qu'ils peuvent disparaître, sans que cela ne change rien à la continuité de a vie.»
Et je rajoute en pensant à vous Louise : vous avez vous changez la continuité de la vie de beaucoup de gens dans Hochelaga et qui sait même dans notre Québec d'aujourd'hui.
Je vous aime et vous souhaite bonne chance et bonnes vacances.
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